Robert-François Damiens : Le dernier régicide de l’Ancien Régime
Robert-François Damiens est le dernier régicide en France. Il a tenté d’attenter à la vie de Louis XV, qui était alors roi de France.
Le retour de l’art antique marque un renouveau dans le monde européen, ainsi qu’un changement de paradigme. Cette période est marquée par de nombreuses avancées économiques, sociales et religieuses.
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Robert-François Damiens est le dernier régicide en France. Il a tenté d’attenter à la vie de Louis XV, qui était alors roi de France.
La découverte des rivages de l’Amérique du Nord et leur richesse maritime a très vite suscité l’intérêt de la France à conquérir la région
Tout en retraçant les positions des réformateurs du XVIe, l’intérêt est ici de montrer comment l’iconoclasme s’organise selon différentes pratiques.
En 1846, les Corn Laws sont abrogées en Angleterre. Les produits agricoles vont alors s’insérer dans le libéralisme.
Le roi Louis XIV marque l’histoire par son règne, néanmoins une histoire méconnue mais ô combien intéressante manque, celle des femmes et du roi.
Au XVIIe siècle, les Pays-Bas se hissent au rang de première puissance commerciale dans une Europe ravagée par les guerres.
Les sages-femmes et matrones occupent une place importante dans la société moderne et se démarquent en se spécialisant dans l’obstétrique.
À l’époque victorienne, les « Hidden mothers » étaient nécessaires pour prendre des photos d’enfants en raison des expositions longues.
Dans le sud-ouest de l’océan Indien, les navigateurs indonésiens et arabes ont contribué à installer le système de l’esclavage.
Le Mercure François, périodique du XVIIe, joue un rôle de compilation à l’époque. Retour sur sa genèse, son rôle et sa disparition.
La neuvième guerre d’Italie (1542-1546) s’inscrit dans le conflit des guerres d’Italie qui anime la France et l’Espagne.
La slave patrol est une milice américaine qui fut établie dans le but de contrôler les esclaves et les populations de couleur.
Marque le début des grandes découvertes.
Bornes différentes dans le monde anglophone.
La Révolution française marque la fin de cette période.
L’histoire moderne marque le début des grandes expéditions, notamment des premières circumnavigations du globe. Avec l’expédition entreprise par Christophe Colomb en 1492 pour découvrir une nouvelle route vers les Indes, il découvre un nouveau continent, qui prendra le nom d’Amérique.
Les voyages, les échanges, le commerce et la colonisation s’accélèrent en Amérique. L’Espagne et le Portugal se partagent le Nouveau Monde.
L’histoire moderne a longtemps été considérée en opposition avec l’histoire médiévale. La redécouverte des travaux antiques, des peintures, des textes ou encore de la philosophie provoquent une émulsion intellectuelle en Europe.
Cette redécouverte des textes anciens ne se fait pas à la même vitesse dans toute l’Europe. Elle commence initialement en 1330, donc au Moyen-Âge par les Italiens, puis s’exporte dans l’ensemble de l’Europe. Cette transition s’appelle la Renaissance.
L’histoire moderne ne marque pas véritablement une fracture avec le Moyen-Âge. Bien évidemment, des évolutions sont notables, comme la poudre à canon transformant les guerres, l’imprimerie diffusant les savoirs ou encore l’arrivée de la pomme de terre en Europe, limitant les famines.
L’époque moderne est aussi le début des guerres de religion en France et en Europe. La Réforme luthérienne de 1517 en Allemagne et calviniste de 1532 en France chamboulent totalement la pensée religieuse. Cette période provoque la montée de l’extrémisme et de l’Inquisition. L’époque moderne est le symbole de la chasse aux sorcières par exemple et non le Moyen-Âge comme nous pourrions le croire.
L’augmentation du commerce en Europe et dans le monde, notamment avec l’arrivée de denrées convoitées provenant d’Amérique permet aux Bourgeois de devenir puissant. Ils sont libres financièrement, mais impuissants politiquement. En effet, ils s’intègrent dans le Tiers état, l’ordre le moins puissant de l’Ancien Régime. La noblesse monopolise le pouvoir, malgré une certaine pauvreté de la noblesse rurale.
Ils occupent une place privilégiée également parce qu’ils vivent dans les villes, des espaces qui tendent à devenir le lieu de vie de tous. La majorité de la population vit en campagne et s’attèle à vivre de la terre, une activité peu productive. Les villes deviennent le symbole économique, politique et social.