
PicRights faut-il payer ? Guide de réponse
Association, particulier, petite entreprise : PicRights vous cible, et vous avez besoin d’aide pour formuler votre réponse.
Un avocat ? 400 € pour obtenir un mail type, des réponses et contre-réponses… sur internet.
Nous avons été menacé à hauteur de 1600 € par PicRights, découvrez notre guide pour répondre !
45,00 €
Aucune amende à payer à PicRights
L’objectif est de ne rien payer à PicRights ou consoeurs, grâce à une réponse béton.
Une réponse type à envoyer
Un courriel type est proposé au sein de notre guide pour répondre au mail de PicRights.
Bonnes pratiques des images sur le web
Obtenez des conseils et des bonnes pratiques, pour ne plus avoir de problème avec PicRights.
Les sujets de notre Guide de réponse PicRights !
Attendez avant de répondre !
Pour réaliser votre défense face à PicRights. En partenariat avec notre agence Angers & Cholet diOptera nous avons réalisé un dossier complet sur comment répondre à PicRights, nous avons nous même été contacté par cette société sur Revue Histoire. Nous vous laissons découvrir cette histoire au travers du dossier.
Nos conseils ne sont pas des conseils juridiques, nous ne sommes pas un cabinet d’avocat. Nous vous fournissons simplement notre aide, ayant déjà eu l’expérience d’une accusation de PicRights. Cependant, nous avons réussi à nous défaire de cette plainte, sans payer les 1600€ de PicRights, et sans payer le forfait de 400€ (en moyenne) des avocats pour répondre à PicRights.
1.
PicRights et les droits d’auteur
2.
Vous venez de recevoir un mail ?
3.
Leurs méthodes pour être payé
4.
Les actions à mener rapidement
5.
Rédigez une réponse béton !
6.
Les jurisprudences à ce sujet
7.
Éviter cette situation à l’avenir
8.
Modèle courriel

Augustin Remond
Fondateur - Revue Histoire & diOptera
Revue Histoire est un projet étudiant. Lancé en 2022, l’idée était de créer un espace de partage pour des étudiants ou des passionnés d’histoire.
Le site a rapidement pris de l’ampleur, avec des dizaines de bénévoles rédacteurs. Des dizaines d’articles étaient publiés chaque mois, avec une cinquantaine de photos. Le risque était donc d’avoir des images non libres de droits.
Nous n’avions pas encore mis en place de règles précises sur l’utilisation des images sur Revue Histoire, nous faisions comme nous voulions.
Début 2023, nous avons reçu une première plainte. Nous y avons répondu, en nous excusant et en supprimant les photographies. Cependant, leur réponse a été rapide : malgré la suppression, il était nécessaire de payer. Nous n’avons pas donné suite à leur demande. Mais quelques jours plus tard, une nouvelle plainte est arrivée, faisant monter le montant total à plus de 1600 €.
Sauf que sur cette deuxième plainte, il s’agissait d’une image dans le domaine public. PicRights demandait des dédommagements pour une image libre de droits !
Nous avons alors décidé d’y répondre, de rédiger une réponse solide et, surtout, d’intégrer des règles strictes sur la gestion des images pour que cela n’arrive plus jamais, sur aucun de nos sites.
Depuis, j’ai fondé une agence, diOptera, et j’applique ces règles pour mes clients, afin de respecter le droit d’auteur et d’éviter les mauvaises surprises.
La cible de PicRights !
PicRights cible aléatoirement les sites et les réseaux sociaux, grâce à des robots.
Cependant, les personnes les plus à même de payer sont les particuliers, les associations et les petites entreprises, qui ne savent pas vraiment qui est PicRights, ni comment fonctionne le droit d’auteur.
Petite entreprise
Pas de trésorerie pour payer l’amende, image souvent acquise via une agence.
Particulier
Réutilisation d’images sur son compte personnel ou dans le cadre d’un projet à faible visibilité.
Association
Pas de ressources, membres pas forcément alertes sur la gestion des droits d’auteur.
Nos clients sont contents !
Les questions par rapport à notre guide de réponse !
PicRights est une entreprise spécialisée dans la gestion des droits d’auteur en ligne. Si vous avez reçu un message de leur part, c’est probablement en lien avec l’utilisation d’une image sur votre site.
Non. Il est essentiel de prendre le temps d’analyser la situation. L’email reçu ne constitue pas une condamnation légale, mais une demande privée. Il est donc important de ne pas répondre dans la précipitation.
Oui. Ce document fournit une méthode complète pour analyser la situation, rédiger une réponse argumentée et prendre les bonnes décisions. Il s’appuie sur une expérience réelle, documentée, structurée et accessible.
Non. Ce guide est fondé sur des expériences vécues. Il ne remplace pas l’avis d’un avocat. Cependant, il donne des clés concrètes pour comprendre le fonctionnement de ces courriers et savoir comment réagir.
Oui. Une adresse mail est proposée dans le document si vous souhaitez un échange complémentaire ou un accompagnement dans la rédaction de votre réponse